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L’Algérienne Faouzia Mebarki s’est distinguée en tant que figure centrale dans l’adoption du tout premier traité mondial contre la cybercriminalité, une initiative historique approuvée par l’Assemblée générale des Nations Unies. En tant que présidente des négociations, Mebarki a dirigé avec succès les discussions complexes qui ont permis de surmonter les divergences entre les États membres et de parvenir à un consensus global sur ce texte crucial.

Le traité, désormais ratifié, vise à harmoniser les efforts internationaux pour lutter contre la cybercriminalité, un fléau qui ne cesse de croître à l’échelle mondiale. Il introduit des mesures pour renforcer la coopération judiciaire entre les pays, faciliter l’échange d’informations sur les cybermenaces et harmoniser les législations nationales en matière de sécurité numérique. L’objectif principal est de créer un cadre juridique solide qui permette aux pays de collaborer plus efficacement dans la lutte contre des crimes tels que le hacking, la fraude en ligne, et l’exploitation des vulnérabilités informatiques.

Faouzia Mebarki, avec son expertise en droit international et en cybersécurité, a su naviguer dans les complexités diplomatiques pour que ce traité voie le jour. Son leadership a été salué pour sa capacité à rassembler des points de vue divergents et à construire un consensus autour de ce document essentiel pour la sécurité numérique mondiale. Pour l’Algérie, cette réussite place le pays en position de leader dans les discussions internationales sur la cybersécurité, renforçant son influence sur la scène diplomatique mondiale.

Ce traité marque également un tournant dans la manière dont la communauté internationale aborde les questions de cybersécurité. En reconnaissant la nature transnationale des cybermenaces, il ouvre la voie à une réponse collective et coordonnée, essentielle pour faire face à des cyberattaques de plus en plus sophistiquées et dévastatrices.

L’adoption de ce traité souligne l’importance croissante de la cybersécurité dans l’agenda international et le rôle clé que des experts comme Faouzia Mebarki peuvent jouer dans la formulation de politiques globales. Le succès de ces négociations montre que la coopération internationale est non seulement possible mais nécessaire pour protéger l’infrastructure numérique mondiale et garantir la sécurité des utilisateurs à travers le monde.

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